“Faso Mebo”, littéralement « la construction du Faso », est bien plus qu’un simple programme gouvernemental. C’est aujourd’hui un mouvement national né de la vision du président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, qui a voulu doter les populations d’infrastructures essentielles, notamment routières et de logement. L’initiative, initialement portée par la présidence via son budget propre, visait à répondre à un besoin urgent dans un contexte où les coûts des infrastructures restaient élevés.

Mais très rapidement, cette initiative est devenue celle de tout un peuple. Du nord au sud, de l’intérieur comme de la diaspora, les Burkinabè se sont levés. Entrepreneurs, opérateurs économiques, artistes, footballeurs, humoristes, agriculteurs, entreprises locales, tous se sont mobilisés. Offrant des milliers de tonnes de ciment, des matériaux, du matériel et des contributions diverses, ils ont fait de Faso Mebo une affaire personnelle. Un engagement patriotique, citoyen et historique.

Sur les sites de construction, des milliers de citoyens – élèves, étudiants, femmes, jeunes – mettent littéralement la main à la pâte. On ne construit plus seulement des routes et des logements, on construit une nation.

🇧🇫 Un souffle économique nouveau
Cette dynamique populaire n’est pas sans effet sur l’économie. Bien au contraire.
Le PIB réel du Burkina Faso a crû de 3 % en 2023 et atteindra 5 % en 2024, grâce notamment à la relance des secteurs agricole et de la construction.

Le PIB nominal est passé de 20,3 milliards de dollars en 2023 à 21,9 milliards en 2024, avec des projections autour de 23,6 milliards en 2025. L’inflation, autrefois menaçante, est maîtrisée : après un creux à 0,7 %, elle reste sous contrôle à 4,2 % en 2024 et devrait redescendre vers 2,5–3 % dès 2025. Le déficit budgétaire, qui s’établissait à −6,7 % en 2023, se réduit progressivement, convergeant vers les normes de l’UEMOA (−3 % à moyen terme). L’effort patriotique, notamment via le Fonds de soutien patriotique, a doublé, voire triplé certaines lignes du budget national.
Du pays pauvre au modèle continental

Hier encore, le Burkina Faso était décrit comme une économie fragile, dépendante de l’extérieur. Aujourd’hui, c’est une terre d’espoir et de reconquête :
Sur le plan sécuritaire, le territoire est en pleine reconquête avec des avancées significatives. Sur le plan économique, l’agriculture est dynamisée : zones aménagées, paysans outillés, production diversifiée, infrastructures agricoles modernes. Le secteur industriel, jadis quasi inexistant, voit émerger des unités de transformation des ressources locales (or, coton, mangue, karité…). Des investisseurs locaux réinvestissent le pays, des touristes redécouvrent la culture burkinabè, et des startups se créent dans un environnement plus confiant.
✊ Une inspiration pour l’Afrique et le monde

Hier, on parlait du Rwanda, de l’île Maurice, des États-Unis comme exemples. Aujourd’hui, c’est vers le Burkina Faso que les regards se tournent. Le monde s’étonne de voir un peuple se lever sans attendre, travailler sans être payé, offrir sans compter, bâtir sans relâche.
Grâce au leadership visionnaire du Capitaine Ibrahim TRAORÉ, la résilience, la solidarité et l’intégrité du peuple burkinabè ne sont plus des slogans, elles sont devenues une réalité visible et vivante.
💡 Faso Mebo : une initiative présidentielle devenue populaire
Faso Mebo n’est plus seulement un programme. C’est un symbole. Une réponse collective aux défis du développement. Une démonstration de ce que peut produire un peuple uni derrière une vision claire.
Le Burkina Faso est en train d’écrire l’une des plus belles pages de son histoire, et peut-être celle de tout un continent.
Wendbenedo




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